12 avril 2016

Jean-Yves n'a pas sa trace ailleurs - extrait en vrac -

Jean-Yves, si il y a bien un fil conducteur, c'est celui là. Le principal personnage se nomme ainsi depuis le début. Les noms, c'est important ! Il passait, au mois d'avril ses journées dans les bois pour cueillir les feuilles vertes et odorantes de l'ail des ours. Il les lavait avec de l'eau et du vinaigre blanc, les essorait, les séchait, les hachait, les mélangeait avec de l'huile d'olive et des graines de tournesol, puis en faisait une pâte à tartiner qu'il mettait en pot. C'était son remontant à la fin de l'hiver, tel les ours d'antan au réveil, dans les premiers jours du printemps. Je me rappelle toujours de Aribald, bien-sûr, mais aussi de Gork.

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