31 mai 2014

Lettres courtes

Cher  Frédéric,

Je crois qu'il faut libérer notre esprit dans la forêt. On ne s'écrit plus souvent. Parle à tes animaux, à tes rats taupiers, même dans ta tête. Trop  pressé par le temps, la famille, les enfants. Tu connais ? Hier le soleil, aujourd'hui la lune, va comprendre l'étalon quand on vit la duplicata ! Écrit moi les histoires de guerre de ta grand mère dans ta prochaine lettre. J'aime bien. Fait un sourire à ta fille, moi je cours toujours au sommet de la montagne.

A dans trois jours j'espère,

ton ami,

Andreï

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